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J’ai maté quelques instants " Hannibal " hier
soir, pour revoir Florence en fait (et la " Fontana del Porcellino
"), pis, de gros groins sanguinaires dans une scène archi-gore
(t) me renvoient une nouvelle fois à moi.
Depuis ma lecture de chapitres du prochain livre de Frédéric
Grolleau, qui évoque les sangliers, je vois des porcs partout.
Pêle-mêle, depuis samedi dernier, PSG prend 3-1 à
Sedan, les Ardennes, les " Sangliers ", je regarde enfin "
Snatch ", dans lequel " Brick Top ", le gros malfrat,
utilise des cochons pour se débarrasser des indésirables,
je bosse sur une campagne " Smart ", qui est une caisse fabriquée
dans les Ardennes, j’ouvre le " Pays Briard " chez mes
grands-parents, en page 13, " Rudy, le petit cochon apprivoisé
a disparu ", je reviens de la visite médicale avec un souffle
au cœur, on me charrie et l’on me promet la greffe d’un
cœur de cochon, paraît que ça se fait, les cochons
sont partout.
Je plaisante, évoque " Maître Capello ", et automatiquement,
" cent francs dans le nourrain "…
C’est une fatalité.
L’agence monte une équipe de foot, dans les propositions
de noms, " Les Sangliers du Net ", je crois.
Bénédicte s’emporte par mail et évoque, entre
le lard et le jambon, une belle daube de sanglier.
C’est une thématique infernale.
Et c’est le début du Ramadan. C’est dire… que
le porc me poursuit.
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