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"Mon fils",
déclaration d'un mère à...
C'est moi qui le lave, je ne laisserai pas mon petit ange entre les
mains d'une autre ; lorsqu'il me quitte pour aller chez sa grand-mère,
cette vieille harpie, mégère et possessive, j'ai le sang
tout agité et l'estomac dans un vrac inimaginable.
Mais chaque matin, que Dieu m'en soit loué, je bichonne mon fils,
mon plus que ça, le seul être que j'aime vraiment, plus
que lui, mon laid mari, mon si présent époux, plus que
ma chair maternelle, plus que tout, plus que moi, plus que l'homme de
tous mes fantasmes, c'est la seule personne pour qui je donnerais tout
; c'est ma petite créature.
Il est tout nu dans le bac ivoire de la douche, tout nu et si beau,
déjà si beau, mon petit gars, mon petit homme.
Bébé, je lui faisais des poutous partout, je le pouponnais
de mes baisers, j'embrassais chaque centimètre de son si petit
corps dodu ; je happais à l'intérieur de ma bouche chaude
ses petits petons, ses petites mimines, son trognon de petit nez, ses
jolies oreilles, je poutounais son grassouillet petit ventre, je jouais
à enfouir dans ma bouche son petit sexe, déjà si
beau. Il était beau, mon fils.
Déjà bébé, je savais qu'il serait le plus
bel homme de la création, qu'il serait la convoitise de chaque
femme, ces salopes qui se damneraient pour les caresses de mon petit
ange, s'enlaçant autour de mon petit cœur, serrant entre
leurs mâchoires putains le sexe de mon tout petit.
Pour le moment, et pour toujours, il sera mon petit gars, mon fils,
mon rayon de soleil, mon unique oxygène, ma particule élémentaire,
mon unique noyau, mon électron vital, ma raison de vivre, et
de supporter tous ces porcs, mon mari, mes parents, ses parents à
ce con, et toutes les pourritures que peuplent la vie. La vie, ce n'est
que des putasseries. Sauf mon bébé, et moi. C'est mon
bébé qui rend un peu ce monde moins à gerber.
Je frotte bien fort son petit corps, bien partout, pour qu'il soit bien
propre, le plus propre et le plus beau. Bien derrière les oreilles,
frotté correctement la figure, dans le dos aussi, sans oublier
sous les aisselles. On descend, on lave bien le derrière et le
zizi, décalotté pour qu'il soit bien propre, pour éviter
que de la crasse s'y installe. Je frotte longuement son zigouigoui,
je sens qu'il réagit à mes frictions ; dans quelques années,
des putes goulues masturberont mon petit homme, il est déjà
si beau, et son sexe, si réactif, je le sens bien, qu'il ne demande
qu'à se montrer, montrer à sa mère toute sa beauté,
s'ouvrir complètement dans sa splendeur ; mais des salopes le
saliront de leurs salaces salives, lui feront du mal, le feront souffrir.
Pour le moment, il est à moi, avec moi, en moi, dans mon cœur,
dans ma chair, de ma chair, dans mon sang, de mon sang. C'est mon fils,
espèce de belles suceuses !
Je sais qu'il me quittera, amoureux, amouraché d'une pimbêche
aux gros seins, arraché à sa mère par une plus
jeune, une plus jolie que moi, qui me l'enlèvera à la
force de son vagin mystérieux.
Mon bébé n'est plus complètement un bébé,
c'est un adolescent, il est grand, fort comme un homme, et c'est le
plus bel enfant de tout l'univers. Il est innocent de toute la méchanceté
de ce bas monde, il est pur, doux et c'est le plus gentil des fils.
Je le nettoie toujours, une bonne toilette, je ne veux pas que mon fils
soit sale, j'ai besoin de sentir son petit corps, de le laver, pour
qu'il soit le plus beau. Je lui frotte bien le dos, après sa
douche, on se lave jamais correctement le dos, je lui retire des impuretés.
Ma main descend jusqu'en bas de son dos, il commence à ressembler
à un homme, avec de larges épaules, et des fesses toniques.
Je passe le gant sur celles-ci et sur son bel oiseau, son beau ziozio.
Je caresse délicatement son sexe devenu homme, devenu adulte.
Il respire fort, saccadé, je continue le va et vient du coton
humide sur son pénis. Sur sa bite. Car telle est la vérité,
mon fils a une bite.
Mécaniquement, amoureusement, il bande, il se raidit, mon fils.
Je m'agenouille devant lui, il ne me regarde pas, fixant le velux. J'ôte
mon gant, je veux sentir sa peau, comme quand il était bébé,
mon petit bout de chou. Je passe délicatement ma main sur verge,
sa belle petite quéquette. Je veux le faire bander totalement,
très vite, je le décalotte. Du bout des doigts, j'enlève,
comme toujours, le dépôt de saletés. Je caresse
le gland de mon grand. Il y aura des dizaines de femmes qui se pendront
au sexe de mon petit, mais je suis et serai toujours sa mère.
Je fourre jusqu'à la corolle le sexe dur de mon bébé,
et je continue à le branler dans l'attente de sentir sa semence
surgir du plus profond de son être, de notre être. Je le
sens venir, la sève arrive, je la sens aussi en moi. Je ne desserre
pas mes lèvres de son gland, la première gorgée
sera pour moi. Il est beau mon fils.
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