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Je tombe sur la bande-annonce d'un reportage sur la prostitution infantile
en Thaïlande et dans les pays du coin. Un vrai spot incitateur
à aller déflorer ces coquines conquises à la beauté
caucasienne.
À voir tous les gros porcs teutons qui s'empiffrent de jeunes
filles ouvertes, j'ai trop envie d'humaniser un peu ce cirque de ma
trogne rigolote. Elles seraient heureuses avec un petit Français
tout croquant et craquant comme moi.
J'aperçois, dans le film publicitaire à aller niquer au
pays du matin calme et aux nuits folles, un bout de sein, ferme, dur
et clair.
Zip, zap, zob...
Elles avouent aimer sucer des bites de blancs. Ça tombe bien,
les blanches préfèrent bouffer de la bite de noirs. Mais
qui sucent les asiatiques ?
La sexualité asiatique est un mystère, pour moi. Ils s'attachent,
crient dans tous les sens, des monstres de l'espace pénètrent
de leurs tentacules des jeunes filles hystériques de peur et
de désir.
C'est délirant, un niakoué au pieu.
Je
zappe cette réclame à la perversion et à la pédophilie,
et atterris ahuri sur le plateau de Jerry Springer où un black
en uniforme de parade expliquait à ses trois femmes qu'il couchait
désormais avec sa sur.
Je
repars dans mon zapping ; horreurs en horreurs : les drames du XXe siècle
: Shoah, Hiroshima, Loana. Le XXIe semble suivre le même chemin.
Les Turcs se qualifient brillamment face aux Sénégalais
; Cissou doit être tout malheureux devant sa télé.
C'est décidément la coupe du monde des bouffeurs de chiens.
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