Thomas B. fight-clubber et rochellien
Thomas B. n’est pas à ranger au rayon des pédés, loin de là !
Thomas B. est un chevalier, avec un B comme Bayard, un B comme Bachi-Bouzouk !
Un B barbaresque, batailleur, bagarreur et belliqueux !
B comme Bonaparte et Bismarck ! B comme Barrault et Barrès !
Oui, Thomas B. est monté sur un fier destrier imaginaire, comme l’infatigable Quichotte, il refuse de laisser la situation devenir mortelle !
Exsangue ! Mortifère ! Caron, tu n’auras rien de l’Occident ! Thomas B. est là ! Vise ses yeux bleus translucides, et son nez écrasé, écrasé par la puanteur de l’homme mauvais, écrasé comme l’était celui de Michel-Ange, par un tailleur de pierre moins talentueux que le divin génie !
Thomas B. est un divin génie ! Un génie divin ! Thomas B. c’est Alexandre sur Bucéphale !
Thomas B. c’est Brutus pour la sauvegarde de Byzance ! Thomas B. élixir emménagogue contre Babylone !
Thomas B. c’est un Tyler Durden protohistorique ! Le fight Club, c’est lui ! Onze branlées ! Oui onze pour la sauvegarde de l’Occident ! Byzance ! Onze et des branlées, des glaviots d’indigents, d’indigènes ! Onze ! Mais Thomas B. est un chevalier !
Belzébuth ! Barnum ! Babylone ! Thomas B. vous surveille ! Guette Thomas ! Combats Thomas !
L’amitié dans la bataille ! Dans la guerre ! Dans la boue ! Bardamu ! Thomas B. !